Partout! Ça sent la nouille par-tout! Pas désagréable du tout. Même le réseau métro-train à l’air d’un giga bol de nouilles ramen. Mais c’est le bol de nouilles ramen le mieux organisé qu’on a jamais vu. 13 lignes, en plus des multiples lignes de train, identifiées de codes de couleur, de chiffres et de noms. On sait jamais vraiment si c’est un métro ou un train, parce que les métros sortent de la terre et les trains y entrent. Mais bon, malgré l’extrême complexité de la chose, c’est assez facile de s’y retrouver, souvent bien indiqué en anglais aussi. Avec un peu plus de la population du Canada au complet dans une seule ville, i.e 35 millions, ça prend de l’organisation!
Revenons aux ramen. Ce n’est pas un mythe, les cup-a-soup font réellement partie de l’alimentation japonaise… Avec les petits sachets de saveur pis toute. Me likey! Pour le reste de la bouffe? Oui, encore des nouilles. Ah, et des sushis, partout, et ils sont frais, partout. Aujourd’hui, après avoir fait notre splendide balade à vélo électrique dans (sur les trottoirs de) Tokyo (lire ici: on a failli tuer au moins 50 personnes…), on a trouvé à Shibuya un petit Sushi Standing Bar. Oui oui, tu entre, tu reste debout, tu commande tes sushis (pas rouleaux ici, que nigiri/sashimi) directement au chef qui te les fait sur le champ, à 2 pieds de toi. Et tu les mange debout, devant lui, adossé sur un petit comptoir. Faut le voir pour le croire, c’est un réel coup de coeur. Et telllllemmment frais, et tellemmment bon! On y retourne demain. Notons que c’est beaucoup plus agréable de manger des sushis que quoi que ce soit d’autre de chaud avec cette température. Tout ceux qui ont osé dire qu’à Montréal c’était insoutenablement humide récemment (et j’en suis), vous êtes dans le champ. La vraie de vraie humidité, c’est ici que ça se passe. Point. Maman, je crois avoir vécu la ménopause moi aussi. Avec le jet lag en prime. Parce que 13 heures de vol, on va s’le dire, c’est long. C’est long en ta@$%@?!.
Heureusement, on a été acceuilli par nos fabuleux amis japonais, Yoshiko (elle) et Kaji (lui, on l’a croisé une fois… un mirage). Yoshiko est plus-que-sensationnelle. Elle nous prépare le petit déjeuner, nous amène souper à des petits boui-boui douteux mais excellent, elle nous fait nos itinéraires day-by-day avec itinéraires des transports en prime. Elle m’a même donné du linge aujourd’hui! oui oui. Bon, je rentrais pas dedans mais c’est un détail. Et l’appart: tout est petit! Les japonais sont petits, alors chaque éléments qui composent une maison est modèle réduit. Sauf la télé. Elle, elle est plus grosse que celle chez le plus gros américain.
” Wow, je suis grand ici!” Jp, 5’9″, à Tokyo. Boost d’estime. ” Mais chéri, on est 15 fois plus gros.” Ouan. Ouch.
Et ils sont tous si gentils! Toujours un sourire, toujours prêts à aider, même s’ils te déblatèrent le chemin en japonais… On répond d’un salut, mains au coeur, Arigato. Et on se perd… Mais, ils sont fins!! Et si beaux. La première journée, Ok ils sont tous pareils. C’est parce qu’ils sont tous beaux faut croire. Particulièrement les japonaisEs… Wow! Toutes super méga belles, bien mises en tout temps. Beaux ti kits, belles chaussures, chevelure soignée, la perfection. J’me sens un peu pichou avec mes running shoes et mes cami sport. J’aurais du apporter des talons. Not. Je leur reproche une seule chose aux japonais mâles… La porno manga… WTF!! Ça vous excite vraiment des… dessins?!? Anyway. C’est sur cette belle idée que se termine notre billet.
Google – Manga porn, pour les weird.
Quelques photos:
















